Janvier presqu’achevé, l’agenda ironique fait de même. Il s’agissait, à la demande de Vérojardine de visiter des villes italocalvinienne, qui « comme les rêves sont faites de désirs et de peurs, même si le fil de leur discours est secret, leurs règles absurdes, leurs perspectives trompeuses ; et toute chose en cache une autre » avec les mots entrechat, rampe, jaquemart, topinambaulx, dents, dindon ; et qu’on finisse par la célèbre phrase du Petit Prince.
Neuf textes, neuf villes, se sont ainsi proposé à la lecture et il s’agit désormais de lire et de choisir vos trois préféré(e)s.
-Jobougon : La vibration laisse émerger le grain de sable qui est là ; Patchcath : De beaux voyages à raconter ; Poesie-de-nature : Orient express : et Colores del corazon ; Victorhugotte : Sextine des villes invisibles ; Chachashire : Sijilmassa ; Palette d’expressions : De villes visibles en villes invisibles; Les mots autographes : Guerre et paix et bibi-moi-même : Noir d’encre.
Que faut(il donc faire ? Les lire, puis aller (avant la fin du mois) chez Vérojardine. pour voter pour les trois que vous aurez préféré et aussi et surtout pour le prochain ou la prochaine volontaire qui animera l’agenda ironique du mois prochain !
Ah, et bien sûr, on peut proposer, hors délai et hors concours, d’autres visites d’autres villes invisibles !
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* Les villes invisibles, Italo Calvino, ed Folio
Illustrations : Joan Martines, Atlas Nautique du Monde, 1586. Gallica/bnF
Deux petites choses: on dirait qu’ici, le lien a mon texte mene a un autre, celui de Poesie et Nature. Autre « bug » je n’ai pu voter que pour un texte. Pas trois. Mais j’ai vote!
oups, le lien est corrigé 🙂 pour le monovote, je l’ai signalé à Vérojardine mais on dirait que ça continue (peut-être qu’il faut revenir 3 fois ?)
Alors on fait comme ça. 🙃
encore des trésors d’imagination dans tous ces textes !