L’ombre en novembre (agenda ironique)

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Sans surprise, novembre succède à octobre ; sans surprise non plus, l’agenda ironique fait de même ; mais, surprise ! en passant du Flying Bum à ici-même ! Luc voulait qu’on parle beauté ; je vous propose de parler d’ombre. Pourquoi ? parce que novembre, parce qu’ombre, parce que, quoi ! Faut-il toujours tout expliquer ? L’ombre ? Oui, aussi bien celle qui s’allonge et recouvre le monde que l’ombre qui nait de la lumière, fille du soleil. Bref, d’écrire ce que vous voulez,  dialogue, poème, roman (petit), nouvelle, traité philosophique, opéra, sonnet, sornette, sur l’ombre.  Et quoi d’autre ? Une pincée d’ironie ; une goutte d’agenda, quelques dates, un mois ou deux ; agenda ironique oblige. Quoi encore ? Vous pouvez vous inspirer de l’image cidssus – ou cliquer ici pour en voir apparaitre tout un nid.

Et puis faudra – faudrait ; si vous voulez ; rien n’est obligé – glisser ces deux phrases : « Je ne m’attends pas à ce que vous croyiez cette histoire. Est-ce que j’y crois, moi ? « 

Et puis une fois écrite, l’histoire, la chanson, la nouvelle, faudra bien sûr la signaler ici, jusqu’au 23 novembre. Et après ? Après, il sera temps de revenir lire les textes proposés et de voter pour çuilà [de texte, de poème, de conte] ou celles [de poésie, de chanson, de nouvelle] que vous préférerez. Et encore ? De rappeler à Photonanie, le moment venu, qu’elle est volontaire pour héberger l’agenda ironique de décembre.

Yapluka !

 

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Illustration : Blanc et noir, scènes amusantes, Benjamin Rabier, Gallica/BnF 

56 commentaires

  1. Merci pour cet hébergement bienvenu quoiqu’un peu ombragé mais pas ombrageux 😉
    Je n’ai pas encore la mémoire qui flanche et, mauvais coup du sort mis à part, je serai de faction pour décembre comme prévu.

  2. C’est fou ça ! On appelle, en dessin technique par exemple, des trous des lumières et du coup la matiére est l’ombre. Comme dans les ombres chinoises !
    Le plein est sombre, le vide lumineux…quelle ironie.

      • Je suis d’accord avec toi, c’est la lumière d’espoir qui fait toute la différence. Mon histoire est comme les tiennes  » à suivre « . Il faut toujours croire en un avenir meilleur et travailler pour. Je te laisse imaginer Momo et sa chinoise heureux au soleil.

      • Oups désolé, je pense que c’est un problème de sécurité WordPress qui n’aime pas les sites autres que WordPress. Il y a peut-être un paramétrage à faire chez toi « liste blanche », pour autoriser mon site.

    • Bonjour John

      Alors… alors tu sais quoi ? J’étais tellement prise dans l’ histoire de Momo – zombie, ombre de lui-même – que j’avais complètement oublié Beethoven et sa sonate.

      Une bien sombre histoire, en tout cas.

      Aussi, cette mademoiselle Wang, ne l’avais-je pas déjà croisée quelque part lors d’un précédent A. I. ? Si ce n’était pas elle, l’autre jeune femme lui ressemblait.
      Toujours est-il qu’ à partir de là, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis dit: ça va bien finir. Oui, malgré le coup de matraque et le violon. Oui bon, je sais, c’est de piano dont il sera question. N’empêche, ça commencait à sentir grave le rebondissement heureux.

      Bingo ! on est arrivé à la fameuse sonate au clair de lune – bravo John !

      Comme quoi, la vie est dure dure parfois, mais il faut passer par le chemin de la nuit pour atteindre l’aube. Au bout du tunnel, la lumière. Contre toute attente
      , la vie est souvent pleine de surprises. La loi du contraste ? Le bonheur de Momo, n’en sera que plus grand.

      • Bonjour Solène,
        Merci de ton commentaire.
        Il est possible qu’une ou deux mlles Wang se soient déjà glissées à mon insu dans mes écrits. C’est sans doute l’assaisonnement de mes recettes ironiques.
        Momo au violon ! Je n’y avais pas pensé mais cela m’a beaucoup amusé.

        Malgré les péripéties, mes histoires finissent généralement bien. La vie est déjà bien assez dure pour que l’on en rajoute.

      • Merci de ton commentaire Tiniak. Comme quoi, il ne faut jamais désespérer. Sous les pavés, la plage et sous la prison, peut-être un tunnel qui mène au bonheur.

    • Bonjour John ! J’ai beaucoup aimé la tournure de ton texte, qui finit, si je puis dire, sur une belle note ! Cela commence comme dans un polar pour terminer sur une toute autre dimension, avec quelques grains de légèreté ici et là malgré la noirceur du portrait proposé. Belle journée, Sabrina.

      • Merci de ton commentaire Sabri Na.
        Pour reprendre une citation inventée de toutes pièces : mieux vaut une histoire triste qui finit bien qu’une histoire gaie qui finit mal.

        • une fois qu’elle est inventée, la citation devient réelle : c’est juste John Duff qui cite Duff John 🙂
          tout comme les histoires qui sont vraies puisqu’elles sont imaginées.

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