Juillet perdu (agenda ironique)

Sitôt rangés les objets objectifs de juin, l’agenda ironique de juillet part en villégiature chez Joséphine Lanesem qui nous propose de raconter la perte, qu’il s’agisse de clefs, de repères, de cheveux, d’âme, de souvenirs, de temps, d’habitude, le repos, de kilos, de feuilles, de saveur, de parfum, de camionnette, de raison, de place de parking ou de vanité, et cela en une seule phrase brève [sujet-verbe-complément] ou longue longue longue, poétique ou prosée, ourombourolée sur elle-même ou ramifiée comme un fleuve traversant un continent perdu, ponctuée ou pas, et que dont vous irez déposer le lien y-conduisant dans les commentaires précisément sous ce billet de Nervures et entailles, où d’ailleurs vous pourrez vérifier si je n’ai pas été trop approximatif, et cela avant le 23 juillet, une semaine pile avant l’août prochain. point.

 

 

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