L’heure de lire (agenda ironique d’octobre)

 

Octobre joue ses derniers jours, c’est le moment d’aller voter pour les textes de l’agenda ironique chez Laurence. Skifaléfer ? Jouer avec l’heure d’hiver, à la frontière du rêve et de la réalité, où tout est possible, l’extraordinaire plutôt que l’ordinaire. Une heure qui dans une vie peut paraître infinie ou brève. Et placer quatre vers tirés du poème Auguries of innocence de William Blake et puis l’expression suivante : « dame d’onze heures ».  Les textes et leurs auteurs ? Les voilà

Vous pouvez lire La dame de onze heures , A la bonne Heure et Madame IA chez Lotharquejamais ; Une heure de plus, une heure de moins de moins chez jamadrou ; Tic-tac time is money chez Funambule sur le fil de l’écriture ; La fille qui cherchait son chien et trouva l’amour chez Filigrane ; Lettre à l’être , Le chevalier d’accueil et Lettre à l’être à la lettre chez Jobougon ; A fleur de bac, chez poLetique et tocs ; Leurres divers chez Tout l’opéra (ou presque) La déclaration chez duff john (si vous souhaitez laisser un commentaire à John c’est dans les commentaires ICI ) ; N comme normal chez Adrienne ; Tenir l’éternité dans une heure, poésie de Rechab à lire dans les commentaires ICI ; Perte de temps chez Gibulène ; Et l’éternité dans une heure chez moi, Mes heures perdues chez Photonanie ; Une heure sans recherche de sens chez Marie-Luce, miaougraphe. Hors délai, ce qui n’empêche pas le plaisir de lire : Leurre de trop chez Lyssamara ; L’AI d’octobre raté chez l’ardoise et la craie. 

Et moi et moi et moi ? Piteusement, il m’a manqué une heure, au moins, pour écrire un texte ; il rattrapera son retard, j’espère, dans le courant du mois d’novembre.

 

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Illustration : L’agence de voyage F. Le Bourgeois à l’angle de la rue du Helder et du boulevard des Italiens, 1928. Agence Rol. BnF/Gallica