Décembre a laissé filer janvier qui traine la patte, et idem fait l’agenda ironique. Il étrenne l’année en passant du blog de Patrick Blanchon à celui de Lyssamara. Alors, qu’est-ce qu’ils nous proposent, l’agenda et janvier (et Lyssamara) ? De commencer par cette phrase : « Tandis que les autres demeuraient silencieux, il se mit à aller et venir, fouillant dans tous les tiroirs , d’ajouter celle-ci : « Je m’attache très facilement » et d’y glisser ci et là les mots : étendre, galet, sicaire, céphéide, ange, se revancher et revif.
Et puis ? écrire et déposer chez Lyssamara jusqu’au 25 janvier, puis, comme tous les mois, lire, relire et élire. Voilà, si j’ai bien compris. Mais le plus sûr est d’aller vérifier chez Lyssamara où tout est bien mieux espliqué.
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Illustration : Eugène Trutat, Portrait de femme debout au bord d »un ruisseau, 1859-1910 ; Gallica/BnF.
Ben … merci !
🙂
Dieu, cette photo !
Merci l’dodo.
[…] un texte pour L’Agenda ironique de janvier sous la houlette de Carnets Paresseux, destiné au blog de Lyssamara, écrit et publié le 5 […]
me suis risquée, à l’invitation de Lyssamara https://brigetoun.blogspot.com/2022/01/pour-lagenda-ironique-de-janvier.html
[…] pour L’Agenda ironique de janvier, exercice littéraire et néanmoins ludique orchestré par Carnets Paresseux, dont les différents textes sont regroupés ce mois-ci sur le blog de Lyssamara, et dont les […]
Comme z’êtes célèbre (quatre mille lecteurs, mazette), j’vous utilise pour qu’ils soient plus lus ! https://lelcaill.wordpress.com/2022/01/15/naom-ange-maudit-ou-les-mefaits-de-lamateurisme/
Bonjour, j’espère ne pas être inconvenante avec le lien ci-dessous. Si oui, pas de souci, supprimez-le.