A peine revenu de son mois de janvier chez victorhugotte, l’agenda ironique se pose chez Iotop, qui se dit un peu fébrile mais pas très prolixe et nous propose de raconter un conte pour petit ou grand, long ou court, qui rime ou pas, mais – bien sûr – avec une morale et quatre mots imposés : quadragésime, tringueld*, gagnant et truculence !
Qui dit agenda dit calendrier : on a – vous avez – jusqu’au 22 février pour raconter et poster un lien chez Iotop, là. Après, on votera du 23 au 27 février. Et encore après, on recommencera, ailleurs !
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*il parait que c’est une sorte de monnaie ou d’étrenne.
illustration : Muséum d’histoire naturelle de Nantes – Photo de Iotop (que je remercie pour ce portrait !)
Tringueld vient probablement du néerlandais drinkgeld et de l’allemand trinkgeld qui signifie pourboire, littéralement argent à boire. Mais plus intéressant nous avons en wallon le mot dringuelle ou dringueille qui signifie étrennes et qu’on reçoit dans des enveloppes de son mounonk ou de sa matant’ et autres membres de la famille ;o)
C’était le petit quart d’heure linguistique
Oups aurait du lire le comm’ avant d’écrire le mien – c’est mieux exprimé 😉
meuh non ! deux explications valent mieux que rien du tout !
merci ! ça géographise drôlement l’histoire à venir, dis donc !
Et j’espère que tu te sentiras obligée de participer 🙂
Ne nous en laissons pas « conter » …
Bon jour,
Diantre, merci pour cet article 🙂
Max-Louis
Mais diantre, de rien !
« Une dringuelle », ça se retrouve dans la wallon – on va recevoir sa dringuelle (aux fêtes etc), »tiens vla, cè t’dringuelle » (+/-), ou « t’as bé(n) mérité t’dringuelle » .
Parfois sens de pourboire, aussi
alors, un conte wallonneux ?
Je ne suis pas un grand défenseur de la « langue » wallonne 😉 – mais qui sait une descente dans les mots d’en bas (sic)
une petite ballade dans la langue du coin, ça ne fait jamais de mal !
Je reviens sur la blog, et que vois-je, une proposition qui me plait ! Je fonce écrire, poster, jouer, et gagner le plaisir d’écrire !