L’art en trait ou l’hareng très ? (agenda ironique de septembre)

Et hop, août est out, septembre est là ; rassurez-vous l’agenda ironique se moque de ces illusoires variations : finies les vacances au camping chez Gibulène  ? Et alors ? L’agenda fait sa rentrée, chez Sabrina ! Et koikelle nous propose, Sabrina ? Parlant de rentrée, de parler d’un souvenir d’école – gratuite, laïque et obligatoire, de la vie, des fans, du dimanche, de la rue, voire même militaire ! Avec , au tableau, les mobligatoires que voilà : rapporteur, pion, colle, ligne, cour (ou cours ou court ou courre) et rythme ! 

Et encore ? De tortillonner au moins un des sigles ici répertoriés. Et puis quoi plus ? de glisser ici ou là cette phrase de Véronique Ovaldé : « cela donnait le sentiment d’appartenir à une multitude à la fois statique et chatouilleuse » issue de « Personne n’a peur des gens qui sourient » (hé oui, même l’agenda ironique s’essaie au placement de produit).

Et enfinon écrit dans la forme qu’on veut, jusqu’au 26 septembre, sans oublier de laisser un lien vers le texte sur le blog de Sabrina ; ensuite, on lira, relira, votera et surtout désignera le nouveau candidat à l’hébergement de l’agenda ironique pour l’édition du mois d’octobre.

Bref, si j’ai bien compris, il faut un souvenir de rentrée, des mots, un sigle tortillonné, une phrase empruntée… Mais allez tout lire chez Sabrina où c’est bien mieux espliqué.

Yapluka !

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Illustration : La rentrée des Chambres, arrivée de Berthon, député de la Seine, 1923. Agence Rol. BnF/Gallica 

7 commentaires

  1. Elles sont bien espliquées les esplications ! Autrement dit, tortilloné aux petizonions. J’en zozotte tellement l’art en sort.
    Merci carnet de la rentrée !
    La classe !
    😃

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