Et zoup, voilà février passé et l’agenda ironique quitte l’Écriturbulente pour, mars venu, arriver sur le Dessous des mots. Et ce mois-ci, on va donc plancher sur le lampadaire, dans un texte, prose ou poésie, long ou court, dans le genre de notre choix, fantastique, utopique, commun, journalier, romantique, animalier … « ou même un lampadaire perdu sur la planète Mars » (je cite) ; et cela, avec quatre mots imposés : Chesterfield, émétique, Atlantique (ou atlantique, l’adjectif ?), évocateur (mots qu’on peut désordonner ou anagrammer ou triturer comme on veut, me dit-on ; l’occasion d’essayer un petit outil, l’anagrammeur qui suggère, pour atlantique : talquaient, aliquante, laquaient, aquatinte, entaquait ou taquaient (parmi les environs 280 anagrammes parait-il pêchables dans l’atlantique) !!
Question de calendrier, faudrait dans l’idéal écrire d’ici le 27 mars (et aller mettre un lien sur le Dessous des mots( voir l’adresse ci là haut), avant de voter jusqu’au 31 du même mars. enfin, le mieux est d’aller vérifier tout ça à l’adresse cidsus déjà mentionnée). Qu’on se le dise, qu’on se le lise, qu’on se l’écrive !
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illustration : éclairage de nuit à l’angle du Boulevard Poissonnière et de la rue du Faubourg Montmartre, 1923. Agence Rol, BnF/Gallica
Bon jour,
Je retiens le fabuleux : cidsus 🙂
A la question pertinente : Atlantique ou atlantique … est au choix (et pas l’anchois) 🙂
Max-Louis
Merci Max-Louis ; chacun fera donc ce qu’il veut des majuscules et des minuscules, tant qu’il y a des lampadaires.
Alors, inspiration et fantaisie vont être au rendez-vous !
Mars et le lampadaire, l’association est idéale pour une première participation !
Cela viendra, ne vous inquiétez pas, Je rends mon mémoire, je fais ma soutenance, je finis les deux UE qui restent et je suis à vous ! (Mais ce ne sera pas mars (:
Éclairage pour Poilus de 14-18 : la lampe à der-des-der…:-)
Joli ;
au poilu bricoleur, on conseillera la lampe à sous-der-des-ders.
merci de transmettre, Carnets!
mon texte est prêt pour vendredi, je posterai le lien chez iotop comme il se doit 🙂
quelle rapidité !
à vendredi donc 🙂
les anagrammes semblent autoriser l’amputation ? hou là ! ça se complique à l’infini didon !
oui, c’est curieux et infini !
Aussi, Max-Louis dit qu’on « peut désordonner ou anagrammer ou triturer » les mots, donc découper en rondelle, non ?
triturer au point d’en avoir la nausée ? 😀 allez zou on peut au moins caser un mot ! 😉
L’anchois est cornélien. C’est comme ça que j’ai découvert Fred Valet…
https://www.migrosmagazine.ch/anchois-corneliens
Tout est déjà inventé sur internet, c’est fou.
Merci Carnets, j’ai adoré découvrir ou redécouvrir (j’me souviens plus très bien) l’anagrammeur.
alors, cet anchois, il a chu ?
J’admire ta merveilleuse constance à promouvoir ce non moins merveilleux agenda ironique auquel, chaque fois, je me dis que je vais participer, et dont ensuite j’oublie la date butoir…
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disons le, j’aime bien ce petit jeu qui change de lieu et de forme chaque mois 🙂
Ah ah ! intéressant. J’ai déjà un billet sous les feux d’un lampadaire… à moins qu’il ne s’agissait d’un réverbère…, très évocateur, mais il ne contient pas les mots requis par les dessous chics de ce merveilleux agenda ironique. Et voilà que ce commentaire commence à devenir très laconique. C’était pourtant réfléchi. Comment voulez-vous que tous ces mots tiennent dans un lèchefrite ? Il faudra faire la lumière sur cette prose émétique… à la lumière d’un réverbère ou d’un lampadaire, capable d’éclairer les mystères de l’Atlantique.
Hé mais s’ils sont tous là, ce commentaire peut concourir ! il faut prévenir Max-Louis 🙂
ah eh bien, be my guest!
Bon jour,
Diantre, je viens de rajouter à la liste 🙂
https://ledessousdesmots.wordpress.com/2019/03/01/agenda-ironique-de-mars-de-lan-2019/
Max-Louis
Merci pour cette initiative ! que le plus beau lampadaire éclaire !
[…] – Le 12 mars 2019 => Texte/Commentaire de La Plume Fragile : Sous les feux d’un lampadaire Chez […]
[…] – Le 12 mars 2019 => Texte/Commentaire de La Plume Fragile : Sous les feux d’un lampadaire Chez […]
Je voulais participer, mais voilà, je cherchais la clé sous le lampadaire parce ce qu’il y a plus de lumière, bien sûr sous un lampadaire, et elle n’y était pas… Je me suis retrouvée, talons à la main, boulevard de l’Atlantique, mes Chesterfield filées aux orteils, dans une vague sensation émétique de l’évocateur qui reste en travers quand il manque de temps.
Mais heureusement vos lumières, lampions et autres lumignons ont éclairé mon jardin de printemps !Bon week-end à vous !
Véro