Les rêves qui bercent ma semaine,
quand vient le dimanche,
ça me dit plus rien du tout.
* * *
Poésie-du-dimanche fataliste et fictionnelle en forme d’haïkou-boiteux ; toute coincidence avec la vraie vie de l’auteur serait totalement fortuite et purement accidentelle.
Illustration : Moulins à vent à Ténédos (Dardanelles), photographie de François Masnou, 1915, Agence Rol. Gallica/BnF
C’est peut-être que, attentionnés, ils auront pris le soin de ne pas vous marquer.
🙂
C’est gentil de nous rassurer 😀
je n’aime pas qu’on s’inquiète 🙂
le sa-me-di n’est qu’entre rêve et réalité.
🙂
C’est la vie…
c’est surtout la semaine 🙂
Ah ! il ne faut pas abuser des rêves parties.
Je suis à la messe
Et ce très bel Haîku
rend gai le sermon
Heureusement on peut écrire…
les éoliennes du temps jadis étaient quand même plus poétiques… 😉
et plus à la portée du premier don Quichotte qui passait 🙂
Faut faire des rêves dominicaux, voyons…
Bon après-midi,
Mo
l’un n’empêche pas l’autre, heureusement 🙂
L’humain postmoderne vit dans sa chair le phénomène des existences parallèles, le weekend parait être un monde inatteignable, jusqu’à ce qu’on y parvienne et qu’on se rende compte qu’il s’agit d’une autre réalité, parfaitement banale
bien observé ; et il y a sûrement d’autres univers parallèles qui peuvent se révéler parfaitement banals voire décevants une fois atteints (la soirée karaoké, les vacances, la randonnée en famille, le poste de chief-executif-happiness….)
il nous faudrait un cartographe du quotidien et de l’hebdomadaire)