Silencieux, le paresseux
lit Terry Pratchett
et, toujours ravi, Vialatte.
* * *
sous-titre : du danger des (trop) bonnes lectures.
Illustration (qui n’a rien à voir) : Course au parapluie à Château-Landon, 1927 Gallica/BnF
Silencieux, le paresseux
lit Terry Pratchett
et, toujours ravi, Vialatte.
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sous-titre : du danger des (trop) bonnes lectures.
Illustration (qui n’a rien à voir) : Course au parapluie à Château-Landon, 1927 Gallica/BnF
Silencieux, le paresseux ? il ne bouge ni langue ni bras. Mais ses petites cellules grises restent en éveil ! Il faut toujours se méfier du paresseux qui pense…
Merci Valéry ; les petites cellules grises se reposent aussi, je crois.
danger trop connu et que pourtant on n’évite pas 🙂
🙂 est-ce vraiment un danger ? ne pas écrire, c’est bien aussi !
En mode hibernation 😉
‘Xactement ! mais une hibernation active, avec des livres 🙂
on a tous besoin de se retrouver dans notre caverne à un moment donné. Profite Jérôme ❤
Silencieux le paresseux paraît heureux…
Je ne me plains pas 🙂
Comme quoi, paresse de langue ne signifie pas paresse de l’œil. J’espère quand même la main se secouera de sa paresse avant la fin du mois 😉
Pas de souci Joséphine, je n’oublie pas l’agenda ; et j’ai aussi du bleu sur le feu 🙂
J’aime bien Terry Pratchett. Au moment pù je le lis je suis silencieuse aussi! 😉
Bonne après-midi,
Mo
On ne saurait rêver meilleures fées pour le landau de notre Belle au bois dormant intérieure.
Bon, on arrive à l’été, faudrait peut-être se réveiller, non ?
🙂