L’agenda ironique a passé novembre chez Tout-l’Opéra (ou presque). Fallait, rappelons-le, s’inspirer de l’Ecclésiaste (n°3), glisser ci ou là l’expression Bretzel liquide ainsi qu’un ou plusieurs anapodotons, dont voici la définition. Et alors quoi ?
Alors elles et ils ont écrit :
– Max-Louis : Compréhension toute éberluée, le menton relevé.
– Le Flying bum : Un temps pour chaque chose
– Victorhugotte : “Un temps pour lancer des pierres…”
– Tout l’opéra (ou presque) : Le destin de Babette
– Solène : Crénom, sœurette !… & Un temps pour tout
– Gibulène : Onésime et l’Anapodoton
– Laurence : Le monde d’Alice
– Jean-Pierre Lacombe : l’Ecclesiaste iconoclaste
– Bibi-moi-même : S’en fiche, le poussin, de l’anapodoton !
– Emmanuel : L’arène
– Photonanie : L’agenda ironique
– Vérojardine : le Temps s’étire
et John Duff, Vexillologiste, a commenté (chez tout l’opéra) :
J’aurais aimé participer mais :
Premièrement je ne sais pas ce qu’est un anapodoton
Secundo je ne dis que des jurons du capitaine Haddock, je ne peux donc utiliser « Bretzel liquide »
Enfin si je m’amuse à ces bêtises je n’aurai pas le temps de débarrasser le lave-vaisselle.
Bref voilà, quatorze textes anapotodonesques, bruissants d’écclesiastes et ruisselants de bretzel liquide (ou presque !), à lire, relire, et puis à départager jusqu’au 30 novembre par un vote chez Tout l’Opéra (et oui !), sans oublier de désigner le volontaire qui se coltinera l’agenda ironique de décembre !
Ou presque.
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Illustration : Agence Rol, Coupe aéronautique Gordon-Bennett, Jardins des Tuileries, 1906. Gallica/BnF
Bon jour Carnetsparesseux,
Merci pour ce retour sur l’Agenda de Novembre 🙂
Max-Louis
Bonjour Max-Louis ; je tente le traditionnel rabattage de lecteurs 🙂 : )
Et tu as raison de faire ce récapitulatif, ce confinement à fait des adeptes dis donc et ça va être bien de lire au nid 😉