Ironie du calendrier, j’ai manqué les deux derniers rendez-vous de l’agenda ironique ; voilà que cet été, il passe son mois d’août chez Max-Louis Iotop qui nous propose d’aller à la plage sans hésiter à déborder du bord de mer pour visiter les plages horaires, les plages de mots, etc, jusqu’aux plages arrières des autos… Donc, il s’agit d’écrire un texte, prose ou poésie – long ou court, avec la plage de votre choix (réelle ou imaginaire) et dans le genre qu’il vous plaira, avec « tout de même quatre mots imposés :
flot, argile, perche et monoï, placés dans le désordre ou l’ordre, anagramés ou triturés.
Tout ça, jusqu’au 26 août pour l’écriture (on ira poster le lien du texte chez Max-Louis) et puis du 27 au 31 pour les lectures et le vote, toujours chez lui.
Enfin, c’est ce que j’ai compris. Le mieux est d’aller vérifier chez lui où tout est bien expliqué .
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illustration : la plage de Coney Island, 1928, agence photographique Pacific and Atlantic, Bnf/Gallica.
Re Bon jour Jérôme,
Merci pour cette annonce et la photographie impressionnante fait marqueur d’une époque où « le tout habillé » était de rigueur … 🙂
Max-Louis
Merci Max-Louis ; c’était aussi un peu avant l’impératif de « distanciation sociale »
lol