L’agenda ironique s’installe en juin chez Laurence Délis, qui nous demande d’imaginer que l’impossible devienne possible, à partir de cette phrase de Lewis Carroll : « Il venait de se passer tant de choses bizarres, qu’elle en arrivait à penser que fort peu de choses étaient vraiment impossible » et une illustration d’Escher (faut aller voir les autres sur son blog). Et puis le récit débutera par la phrase d’ E Allan Poe : « L’été, la nuit les bruits sont en fête » et finira avec celle de Lewis Carroll (encore lui!) : « Finalement, j’ai rencontré une brouette, et j’ai pensé qu’elle me prêterait une oreille attentive. »
Le lien du texte pourra être déposé en commentaire chez Laurence jusqu’au 24 juin. Ensuite, lecture pour tous et votes jusqu’au 30 (juin).
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Illustration : Lucie Marcelle, portrait de jeune fille déguisée en cartomancienne, 1924. Agence Rol, BnF/Gallica.
Il y avait chez mes grands-parents un portrait de la reine Astrid qui portait la même coiffure …
alors de deux choses l’une : la reine Astrid était soit cartomancienne, soit catherinette 🙂 !
Catherinette … peu de chances, elle n’était reine que parce que épouse du roi 🙂 Quant à la cartomancie, pas vraiment évident non plus: elle aurait dû voir dans les cartes qu’elle mourrait jeune dans un accident, et éviter les voitures 🙂
Sublime photo !
N’est-ce pas ? mais se sont les gravures d’Escher qui sont à l’honneur dans l’agenda ce mois ci 🙂
Joli défi !
La fête des brouettes (sourire)²
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J’ai longtemps cru que les grilles qui obstruent les fenêtres de la prison au rez de chaussée de ce fameux bâtiment impossible*, était elle aussi impossible.
Jusqu’au jour où j’ai examiné de plus près les grilles calabraises … elles sont toutes ainsi.
Impossible de retirer un barreau dans cet enchevêtrement.
*https://www.floornature.eu/media/photos/1/14187/11_belvedere_full.jpg