Mi-avril, relâche pas le fil… (agenda ironique d’avril)

Nous voilà bientôt à la mi-avril, et vlatipa que par la force des choses, l’Agenda ironique aussi !

Rappelons que quoi qu’il s’agit ce mois-ci : hé bien c’est tout simple, faut choisir trois images parmi les vignettes empruntées au Spécimen des caractères d’affiches, vignettes et fleurons des fonderies et stéréotypie de François-Nicolas Gromort et avec, raconter l’histoire qu’on veut, avec quelques mots imposés : giboulée, zébu, cognassier et riboulaine (ce qu’il veut dire, celui-là ? ça sera l’occasion de l’inventer) ; on écrira jusqu’au 26 avril inclus en déposant le lien des textes dans les commentaires cidsous.

A mi parcours, nous voilà avec huit (8) textes écrits par les agendistes :

Dominique Hasselmann, Promenade distanciée.
Jobougon, un triton à l »agenda ;
Gibulène, Le pépé d’Onésime.
Iotop, d’un éther à la rondeur de mon aimée, feuilleton en 10 12 épisodes.
Adrienne, Autrefois.
Patchcatch, En avril ne lâche pas le fil.
Emmanuel Glais, le Canevas.
et Victorhugotte, Couture.

Et vous ? qu’écririez-vous avec ces images et ces mots ? Il reste encore 13 jours pour essayer (et les textes arrivés hors délai seront évidemment lus avec joie ! Puis on votera du 26 au 30 avril chacun pour trois (3) [III] textes, et puis encore une fois pour celui ou celle d’entre vous qui sera désigné volontaire pour assurer l’agenda ironique du mois de mai (mais on en est pas là).

D’ici là, bonne écriture et bonnes lectures !

 

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on peut aussi trouver les explications et les images ici.

illustrations : Nicolas-François Gromort, Spécimen des caractères d’affiches, vignettes et fleurons des fonderies et stéréotypie, 1837. Gallica/BnF.