Dehors, grands mots et grands bruits !
Moi ? Je reste coi
(Quel besoin d’y ajouter?)
* * *
Illustration : Catalogue Macy’s, printemps été 1911, winterthur Museum Library.
Dehors, grands mots et grands bruits !
Moi ? Je reste coi
(Quel besoin d’y ajouter?)
* * *
Illustration : Catalogue Macy’s, printemps été 1911, winterthur Museum Library.
Pas de couac pour le canard paresseux (euh, carnet). Il ne s’est pas foulé. La foule était ailleurs.
Joli 7-5-7, Dodo !
Bonne sieste !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
j’y retourne 🙂
(trop de branle bas dans Landerneau, aurait dit Georges B.)
Quoi ? faut-il se taire
Embrassement national
Générosité factice
Pas de faute de frappe ; c’est bien embraSSement, devant l’embraSement.
(à un esse prêt, tout change)
🙂
faut-il se taire ? non,
disons qu’on n’est pas obligé
de se sentir obligé
de participer 🙂
J’avais aussi :
Coi ? faut-il se taire ?
Embrassement national
Les crocos pleurent
Toujours avec deux esses…
On sent déjà venir l’été? Les cigales bercent-elles ton sommeil?
l’été, je ne sais pas ; la paresse, c’est certain 🙂
Parti pour un gros dodo…
Chut ! ne réveille pas
Le paresseux du printemps…
merci Licorne !
Bon, on dirait que vous n’avez pas lu mon commentaire chez La Licorne, alors je fais un copié-collé ici !
Pendant l’incendie de Notre-Dame, en compagnie de ses fidèles
Amis, le Baobab et le Corbeau, la Carpe et le Renard, le
Roseau et le Chêne, autour d’un plateau de fromages au lait cru,
Il n’avait d’yeux (le Dodo paresseux) que pour le spectacle éclatant d’une fleur de tournesol,
Soleil du soir gallicanesque – coi
😉
Merci Andréa pour ce commentaire redoublé ; je l’ai lu, mais je ne peux pas y répondre chez la Licorne 😦
Permettez que je proteste à moitié : j’ai suivi avec effroi et inquiétude la marche de l’incendie… une fois rassuré par la victoire des pompiers, ce sont les commentaires innombrables et (parfois) tonitruants et stupides qui m’ont fait me retourner vers la calme compagnie du baobab, du corbeau, de la carpe et du tournesol..
(s’il faut une morale, ça serait quelque chose comme « trop de bruit me nuit »)
Mais je suis tout à fait d’accord avec vous, Carnets et j’avais bien compris ce que vous vouliez dire à travers votre haïku si éloquent dans sa sobriété.
« Trop de bruit me nuit » me convient également parfaitement !
😉