Péripéties oniriques, chute et pas de côté

Et hop, février entraine l’agenda ironique loin de la Jumeleine et jusque chez l’Écriturbulente. Alors de quoi qu’il va s’agir cette fois? Et bien cette fois, Celle-ci nous demande de (re)lire Ionesco. Pas tout Eugène, ni cantatrice ni chaise ni rhinocéros, juste cette miette de journal :

« Après beaucoup de péripéties (mais lesquelles ?) on me propose de rêver le rêve absolu. Comment en est-on arrivé là ? »

Et, partant de cette miette, de se placer pile au pied de la lettre (laquelle ? à votre choix) et d’imaginer ces péripéties « chargées d’un puissant magnétisme onirique, rêves de réalités de plus en plus intenses. Rêver pour de vrai, jusqu’au rêve absolu ».

Et, grain de sel final, le texte doit se terminer par cette phrase de Groucho Marx :

« Le meilleur moyen d’éviter la chute des cheveux, c’est de faire un pas de côté. »

Et le calendrier de cet agenda onirique, quel est-il ? Chacun écrit jusqu’au 22 février à 22 h 22 (et dépose chez l’ Écriturbulente les liens vers son ou ses textes), on vote du 24 au 28 (que ferons-nous du samedi 23 ? Cela n’est point dit). Et puis le mois de mars arrivera, et avec lui un nouvel agenda ironique.

 

***

illustration : jeune rhinocéros buvant au biberon, 1922. Agence Rol, BnF/Gallica

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