Voilà qu’une fois encore l’agenda ironique, à force de poursuivre sa course dans la nuit des pôles – et jusqu’à Zuydcoote ! – a accumulé une r’Ondelette collection de dix-sept textes.
Parce qu’il avait dit ça, (qui il ? quoi ça ? faudra lire pour savoir) derrière la page, on entend la neige tomber doucement ; sur l’avers, on croise tout un bestiaire, Onésime au pingouinzoo, un triple Chat noir, un canard sur l’önd hargneux comme seul le Zébul’önd l’est, bref une dynastie de mo[r]ts bien vivants qui chantent l’épopée du Pingouin
Après l’Avent (il y a maintenant l’après) . Alors, à force de courir, fatamalice, il faut bien arriver et déremballer les cadeaux.
Les voulez-vous lire, ces cadeaux ? Même et surtout imparablement fragiles et soufflés, ne perdez pas une seconde d’inattention à vous tortiller sur les braises de l’agenda, mais filez – et ça vaut aussi si on veut se proposer pour animer le prochain agenda ironique – chez Patchcath, et sans perdre de temps, jusqu’à l’année prochaine.
***
illustration : le président Doumergue au salon des arts ménagers. agence Rol, 1927. BnF/Gallica
C’est assez jubilatoire même si je n’ai pas tout à fait compris tous les ressorts de cette composition collective. Il y tant de fantaisie, d’humour, de joyeusetés où se planque une inestimable mélancolie.
Merci ! Je ne suis pas sûr non plus d’avoir saisi tous les ressorts (je serais même plutôt convaincu de ne pas avoir saisi 🙂 ) mais je crois que Fantaisie et Mélancolie sont là pour longtemps.
La politique est vraiment le salon des arts… du « ménager » : la droite, la gauche, les gilets jaunes, les gyros bleus, les parkas, les vestes, les stylos rouges, les bouées de sauvetage, les automobilistes, les cyclotouristes, les encyclopédistes – voire même les blogueurs… !
Bonne année 2019 avec toujours autant de paresse !!! 🙂
Dominique
Oui, on trouve de tout et de toutes les couleu.v.r.es chez la bonne samaritaine politique, qui promet pour l’an prochain des vestes électorales et réversibles à foison !
Personnellement, je ne lui demande que de la paresse pour encore un an 🙂