Voilà à peine une semaine que l’agenda ironique) d’octobre s’est installé dans l’accueillant Café M. Verlaine, à Coupiac (Aveyron), et déjà une, deux, trois histoires ont été engrangées récoltées, vendangées, dénichées…
La première existait longtemps avant l’agenda (ironique, non ?) écrite par la plume de Pierre Carrive qui a bien voulu qu’on la signale ici (merci). La deuxième, c’est où qu’il faut la lire ? C’est chez Jacou (il semble qu’une suite s’annonce) ! Et la troisième ? Madeleine et Léonie la racontent, hors compétition à leur demande, même si je ne vois pas trop pourquoi. La quatrième, la cinquième, les tantièmes suivantes ? à vous de les écrire, inspiré.e.s de la photo sise-là-haut : journal, comptine, conte, fait-divers, lettre, poème, dialogue, conférence, collage… tout est permis ! et ça, jusqu’au 22 octobre. Après on lira et on votera jusqu’au 29. On proposera au passage la/le volontaire qui accueillera l’édition suivante. Et on recommencera, ailleurs, en novembre ; voilà.
Je me creuse la tête! pfiou, j’la trouve bien bien en ce moment!
Hé, mais si tu trouves ta tête « bien bien », c’est pas si mal ! :))
HA HA HA, merci le correcteur! Je voulais dire que je la trouvais bien VIDE!!!!
Merci je viens de faire de belles découvertes:)
Merci Almanito ; c’est le charme de ce jeu là, les découvertes !
Comment ça, vous ne voyez pas pourquoi ?!
Je ne pourrais ni lire les textes (sniff) ni participer au vote (ouin).
Je pars en voyage !
Les textes seront toujours là au retour, et le vote.. ça sera pour une autre fois 🙂
Léonie : Et voilà, tu as foutu le bordel dans l’organisation du jeu. T’es contente ?
Ouais, c’est là que je vois la vertu de l’orga selon CarPar : on peut apprécier ton texte, et ne pas t’indiquer pour l’orga. de Nonventbre
En effet, ce serait plus juste pour les autres participants. Je ne sais pas comment convaincre Carnets… Je ne connais pas la langue Dodo.
Alors si Andrea se met à parler comme un président de la république, maintenant… 😉
Et vive l’écriture inclusive😂😂😂
Le tenancier du café ne s’appelle pas, en réalité, Mathieu Verlaine. Sur demande expresse de son épouse, il a pris un pseudo (bien avant que Twitter n’en distribue à la ronde), pour demeurer plus tranquille. D’ailleurs, qui connaît le poète qui se dissimule, sur la façade, derrière ce M. énigmatique et ce « Verlaine » qui renvoie trop visiblement à son compagnon Rimbaud pour que cela soit véritablement honnête.
Trouve-t-on même de l’absinthe dans ce café d’apparence décrépit ? Elle est forcément absente, doit-on constater : le patron ne sert plus que des jus de fruits Pschitt et des thés Lipton : il en a eu assez de répéter à ses clients qu’ils devaient consommer l’alcool « avec modération », ce qui est contradictoire avec son métier.
Michel Vercoton – puisque c’est son vrai nom – a donc l’intention de transformer son commerce qui périclite à cause de tous ces interdits (avant, il vendait même du tabac !), en boutique bio : nourriture vegan et gilets en peau de mouton.
Déjà, deux couple d’Allemands ont manifesté leur intérêt pour cette idée de nouvelle boutique. Grâce aux économies gagnées avec leurs mini-jobs, ils vont bientôt émigrer de l’Heimat à la Merkel et s’installer dans une ferme qu’ils ont rachetée à côté ; ils fourniront ainsi à Michel Vercoton la matière première, question vêtements, en élevant un troupeau de béliers et brebis. En ce qui concerne la viande, l’équarrissage pour tous se trouve à seulement 30 km de là, dans la petite ville de Guéret (Creuse).
Excellent ; on me dit que Monsieur Vercoton vient d’ouvrir à La Souterraine une cafeteria M (pour moderne) Vernylon !
http://victorhugotte.com/2017/10/10/verlaine-sighting/
Et voice le lien!
Bon jour,
Ce matin j’ai posté mon texte sur le sujet mais je n’ai pas eu le temps d’effectuer le lien:)
Donc voici ma modeste participation :
https://ledessousdesmots.wordpress.com/2017/10/10/la-formule-mv/
Max-Louis
Prochaine mission : lire, commenter les textes des autres auteurs(es) sur le sujet 🙂 J’ai hâte d’être étonné 🙂
Max-Louis